05 avril 1999 – 13

Quand j’ai besoin d’un réel anonymat, je vais le chercher à l’étranger. Je crois que je pourrais vivre à New York, je m’y sens bien. Je peux y marcher dans la rue sans me soucier de savoir si je suis jolie ou si je marche droit, entrer dans un café, des choses toutes bêtes.
On peut toujours faire tout ce qu’on veut, mais c’est dur d’être observée quand on n’a pas envie de l’être.