20 avril 1991 – 8

Faire une analyse, j’y pense, mais j’ai peur d’une chose : tuer ainsi toute créativité, toute inspiration chez moi. Car mes doutes, mes émotions me permettent d’écrire et de chanter. C’est ma raison d’être. Et puis, l’idée de la confession, devant un médecin comme devant un prêtre, me terrifie.