Je ne vais pas dans un stade qui est ouvert, parce que cette période de juin, tout le monde le sait, il fait jour très tard et que j’avais envie, moi, comme je l’ai toujours fait de rentrer dans le noir pour avoir quelque chose de plus impressionnant, si je puis dire. Donc il a fallu trouver un lieu qui avait un toit, et puis d’autres stades qui ont un toit, il y en a très, très peu et ils ne sont pas libres. Donc finalement, on s’est dit : « Voilà, faisons un spectacle unique dans ce lieu » comme je l’avais fait à Bercy, et c’était un moment qui était inoubliable, avec cette idée qui est compliquée aussi pour moi de faire venir le public de province. Je sais que ce n’est pas simple. Ce n’est pas un manque d’humilité de ma part, mais voilà, si on veut quelque chose d’incroyable, il faut se donner, et moi je me donne les moyens. J’espère que les gens apprécieront.