30 novembre 1996 – 3

Le désespoir, je crois qu’il a fait partie de mon quotidien. Mais, maintenant, je ne pense pas être la seule. Je pense que le commun des mortels a des moments de bonheur et des moments de détresse absolue. Je crois que même une journée peut être comblée par bonheur et tristesse à la fois. Maintenant, est-ce que je fais l’apologie de la détresse et du malheur : non. Je l’ai exprimé, en tout cas.