31 mai 1996 – 16

Je crois que la scène, c’est très, très libérateur. Il y a toujours un trac, une notion de trac qui est énorme. Maintenant, c’est un vrai bonheur que de retrouver, si on peut parler de dialogue, en tout cas une émotion, une émotion que je ne trouverais, je crois, nulle part ailleurs. Donc la scène me donne ça et, c’est bien et j’aime ce moment qui est rare.