Les citations liées à "Pascal Laugier"

Gala, le 17/05/2017

C’était impressionnant de voir Pascal Laugier au travail, d’observer comment il faisait corps avec son long-métrage. Je garde un souvenir très fort de ce tournage et de « mes filles » à l’écran.

Gala, le 17/05/2017

Je ne parlerais pas de difficulté, mais d’exigence. J’aime les projets ambitieux, précis, qui demandent l’investissement de toute une équipe pour un résultat encore inconnu… Il y a une certaine beauté dans ce geste collectif. J’ai accepté ce film, essentiellement parce que mon rôle était très bien écrit et parce que Pascal maîtrise remarquablement ce genre. Son scénario est formidable. Me glisser dans la peau d’une mère prête à défendre ses enfants était un challenge, mais je l’ai finalement abordé de façon assez naturelle, instinctive. Quand le tournage a débuté à Winnipeg, j’étais une actrice parmi les autres.

Première, le 07/03/2018

Le cinéma est avant tout une question de rencontre avec un personnage, une histoire, un metteur en scène. Ces rencontres sont rares mais pas impossibles ! Ghostland en est la preuve. De mon côté l’envie a toujours été présente mais il fallait qu’elle soit pleinement partagée. C’est ce qui s’est passé avec Laurent Boutonnat et Pascal Laugier. Le désir de quelqu’un est un moteur puissant pour se réinventer… Il n’y a pas d’aventures sans frissons.

Première, le 07/03/2018

J’avais aimé l’audace de ce film « coup de poing ». Je pense que Martyrs est une œuvre sans concession dans laquelle Pascal Laugier nous dit clairement qu’il assume ce genre (qu’il maîtrise très bien par ailleurs). C’est une étape importante dans son parcours qui lui a probablement donné la possibilité d’écrire un Ghostland vraiment réussi, plus sophistiqué et tout aussi efficace. Me voilà critique de cinéma !

Première, le 07/03/2018

J’ai suivi attentivement son travail depuis son premier film, Saint Ange. Il a un univers extrêmement dense que chacun de ses films révèle peu à peu. Pascal est un cinéaste très érudit. Mais c’est surtout un auteur passionnant et un metteur en scène très exigeant. Je le trouve courageux dans ses choix, son parcours. Et comment ignorer qu’il a eu l’audace de me proposer Ghostland ?

Première, le 07/03/2018

C’est moi qui ai fait le premier pas pour City of Love. Je cherchais un réalisateur capable de créer un univers étrange, gothique et poétique à la fois, tout en ayant le sens du rythme. Le choix de Pascal était évident.

Première, le 07/03/2018

C’est valorisant de confronter son expérience comme le feraient deux personnes qui n’ont pas les mêmes outils mais travaillent de la même manière. Nous avons des points communs, nous sommes viscéralement « dark » mais attirés par la lumière.

Première, le 07/03/2018

(Ce qui m’a séduite dans l’offre de Pascal Laugier) ? Sa confiance totale et irréversible. Son désir de travailler avec moi. Pascal est quelqu’un qui ne se préoccupe pas des préjugés, il sait, il veut, il fait. Il vouait que je sois une mère prête à tout pour sauver ses deux filles de la barbarie. Je le suis devenue pour lui.

Première, le 07/03/2018

Nous avons beaucoup échangé sur le rôle de Pauline avant que Pascal ne me laisse « l’habiter ». Quand je suis arrivé à Winnipeg pour les essayages des costumes, j’ai choisi un manteau qu’il a apprécié. J’ai senti que c’était important que j’adopte une silhouette qui correspondait au personnage. J’aime bien son approche, vous laisser vous approprier l’âme et la coquille.

Gala, le 07/03/2018

Le désir de Pascal, son talent de cinéaste, sa certitude que je pouvais incarner le personnage de Pauline… C’est très porteur, très motivant, très rassurant, malgré les doutes… D’autant plus que son scénario était passionnant, très bien écrit, et mon rôle vraiment intéressant à construire.