Les citations liées à "Bertrand Le Page"

"Pollen" - France Inter, le 13/12/1985

(C’est important d’avoir une équipe comme ça soudée, serrée) Pour moi oui, c’est capital ! Capital parce que je pense que le regard de soi n’est pas toujours bon. Il faut avoir un peu le regard des autres, enfin des personnes, en tout cas, qu’on a choisies ! C’est un regard dur ! D’ailleurs, Bertrand (Bertrand Le Page, ndlr) ne me contredirait pas. Oui ce sont deux personnes (Bertrand Le Page et Laurent Boutonnat, ndlr) qui ne laissent pas échapper le moindre détail. C’est un regard critique mais moi j’aime ça, j’ai besoin de ça !

Télé 7 Jours, le 10/11/1986

Bertrand (Bertrand Le Page, NDLR) m’a montré mon thème. Je suis Vierge ascendant Vierge. Tous mes frères et sœurs ont le double signe. C’est loin d’être un avantage. Il faut éviter les dédoublements de personnalité…

Graffiti, le 01/03/1987

Il y a quelqu’un qui me suit de très près, c’est Bertrand Le Page. Il est, un mot que je n’aime pas beaucoup, mon manager, mais en définitive c’est beaucoup plus que ça.

Lazer - M6, le 01/05/1987

J’ai une personne qui est avec moi depuis pratiquement le début, la fin de Maman a tort, qui est Bertrand Le Page, qui fait office de manager, qui a un statut plus important.

Rockland, le 01/11/1988

Il y a très peu de personnes près de moi. Ma photographe, et un jeune homme qui fait plein de métiers différents et que j’aime beaucoup. Voilà, c’est tout.

Star Club, le 01/11/1988

Dans ce métier, c’est très important d’être rassurée, poussée par quelqu’un. Mon manager Bertrand Lepage a été pour beaucoup dans ma transformation physique depuis Maman a tort et dans le fait que j’ai pris confiance en moi. Ensuite c’est vrai, il y a beaucoup de travail.

Télé 7 Jours, le 05/12/1988

J’ai célébré cette Victoire de la Musique dans le silence. Dans la voiture, en quittant le Zénith, avec mon manager Bertrand LePage, nous n’avons échangé aucun mot. J’étais assise à serrer très fort entre mes mains cet objet très lourd. C’est ma manière de vivre les choses. Mon sens de la fête est le repli sur soi sans occulter le bonheur. Chez moi, j’ai placé la Victoire dans mon salon, sur un haut-parleur.
Et le lendemain, je suis redescendue sur terre en me plongeant dans le travail, qui est surtout une préparation physique en vue du Palais des Sports, en mai 89.