Les citations liées à "Soleil"

Elle, le 23/12/1991

J’aime l’hiver. C’est tellement moins vulgaire que le soleil, les vacances, les maillots de bain.

Podium, le 01/02/1992

J’adore l’hiver. Je trouve les gens plus beaux, Paris plus beau. L’été, j’ai du mal à m’habiller parce que j’aime bien mettre des choses superposées, qui me cachent. Je déteste l’été, les vacances, le soleil, je trouve ça vulgaire… Peut-être aussi parce que le soleil ne m’aime pas tellement !

Europe 2, le 21/12/1995

L’envie de voyage, et aussi l’idée que je connaissais quelques personnes là-bas, donc c’est une transition un peu plus facile. L’envie d’espace, de soleil, je crois. Et d’essayer d’y trouver une liberté de tous les jours. A savoir pouvoir, moi, évoluer dans la ville sans être perturbée par l’idée du regard qui, parfois, peut déranger. Autant de choses qui sont, là encore, dans le fond, très banales. Mais moi, j’y ai trouvé une liberté. Et puis découvrir des choses, découvrir un paysage, découvrir des personnes et puis des choses, des choses très, très futiles ! Des gestes de tous les jours que j’avais peut-être oubliés pendant de longues années, parce que j’ai eu ce sentiment de m’être, moi, un peu repliée et renfermée sur moi-même. Voilà, des idées que j’évoquais très, très futiles… C’est faire ses courses, par exemple, aller dans des grands supermarchés. Ça peut paraître très, très bête, mais j’y ai pris un réel plaisir !

Jeune et Jolie, le 01/04/1996

L’idée de vacances, de soleil et de palmiers est une chose que je n’envisage pas, même si je reconnais, maintenant, que le soleil peut être parfois agréable. J’avais vraiment besoin de larges espaces et je connaissais quelques personnes là-bas. J’y allais aussi pour les studios et les musiciens. La Californie m’a offert une qualité de vie et de liberté que je ne connaissais pas.

Gala, le 30/05/1996

Mon adresse, c’est toujours Paris, mais avec l’idée de pouvoir m’en échapper quand je le veux. J’ai trop aimé vivre à Los Angeles. Pour l’espace – même s’il est parfois étouffant – et le soleil. Et surtout le plaisir de pouvoir perdre son identité et ses points de repère dans cette ville immense où personne ne me connaît. En comparaison, je trouve Paris bien morose. Ici, tout est noir d’encre. Plombé et déprimant.

Télé 7 Jours, le 11/11/1996

Parfois la retouche des photos est indispensable pour effacer un mauvais maquillage, une lumière incorrecte. Mais je ne fais pas une névrose obsessionnelle sur ce sujet. J’ai un teint clair mais j’accepte le soleil. Vous devez penser à l’époque de Libertine où j’étais très blanche. C’était mon époque poudrée…

Elle, le 05/04/1999

Je ne me sens bien que dans le froid. Pendant longtemps, je ne supportais ni le soleil ni la chaleur. Ça va mieux depuis que j’ai vécu en Californie.