Les citations liées à "Journalistes"

La Vie à pleines dents - FR3 Midi Pyrénées, le 28/05/1986

C’est comme dans tous les métiers. Il y a des personnes qui sont douées, et puis d’autres effectivement dont il faut se méfier, parce qu’ils n’ont pas une plume très développée et souvent un peu maladroite.

Rock FM, le 01/07/1986

A la presse française, je n’ai rien à leur dire. Je suis heureuse d’être là. Et… tant pis pour eux.

Rockland, le 01/11/1988

Les journalistes font leur métier comme des cochons. Ils ne respectent rien et surtout pas la personne qu’ils ont en face; Quelquefois, ça peut se passer très mal. Mais en général, on a su parler de moi avec justesse, en bien ou en mal… Je hais les magnétophones parce qu’il y a des mots, des pensées que j’aimerais effacer; avouez que c’est malgré tout une jouissance pour vous…

Rockland, le 01/11/1988

j’ai toujours voulu être célèbre. Cela dit, je préfère prendre des calmants lorsque je sais que deux journalistes vont me poser des questions, me demander des justifications… Il y a beaucoup d’appréhension avant une interview ; on attend tellement de choses de moi, je dois être performante dans toutes mes réponses et ça m’est difficile…

Star Music, le 01/07/1991

Après Bercy, j’ai lu certains articles qui manifestement étaient écrits pour blesser ou même pour flatter l’ego de leurs auteurs. D’autres n’avaient pas vu le concert et s’autorisaient des commentaires qui n’avaient pas lieu d’être. On peut ne pas m’aimer, c’est une évidence, mais de là à mentir, à dire que je ne chantais pas en direct, relève à mes yeux de la faute professionnelle.

Le Soir, le 25/10/1995

Etant de nature plutôt discrète, ou mystérieuse si vous préférez, je suis beaucoup moins exposée à une certaine presse. Peut-être aussi parce que j’évite de me mettre les seins nus au bord d’une piscine, mais je ne fais pas le procès des artistes qui le font, les procédés de ces journaux à paparazzi sont de toute façon détestables. Ces gens-là me poursuivent tout de même, plus facilement à Los Angeles qu’à Paris, parce qu’il y a l’exotisme.

Vogue (Allemagne), le 01/03/1996

Lorsque je montre ma nudité ou lors de photos sexy, les journalistes me dépeignent comme une dévergondée sans aucun mystère. Cela leur paraît paradoxal que je sois si discrète d’ordinaire et beaucoup attendent une justification. Je déteste cela!

Déjeuner de Gala - Radio Nostalgie, le 30/11/1996

L’évocation de l’écriture est quelque chose, dans le fond, d’assez rare de la part d’un journaliste parce que je crois qu’il est plus enclin à parler, ou d’une vie privée que l’on ne veut pas dévoiler, ou des choses qui sont « plus racoleuses ».