Les citations liées à "Pascal Laugier"

Gala, le 07/03/2018

Une collaboration, c’est une question de chimie, le premier rendez-vous détermine la suite. J’avais d’abord remarqué un être passionné, immergé dans un véritable univers, sur le tournage du clip de City of Love. Puis, le cinéaste s’est imposé, avec son intelligence, sa folie… Pascal est un réalisateur précis, hanté, qui ne lâche rien.

Gala, le 07/03/2018

Je me doutais que le film ne laisserait pas indifférent. J’ai tout de même ressenti une décharge d’adrénaline et une immense joie, quand le film a reçu son premier prix (au Festival de Gérardmer 2018, ndlr), celui du public dont la reconnaissance est tellement importante… Puis, le Prix du jury Syfy et le Grand Prix se sont enchaînés. J’étais tellement heureuse pour Pascal et toute l’équipe mobilisée autour du projet. Nous avons vécu une belle émotion ce soir-là.

JT de 20 heures - TF1, le 11/03/2018

C’est drôle parce qu’on parle souvent d’un film d’horreur ou d’un film de genre et dans le fond je me dis : peu importe le genre. J’ai rencontré, moi, un réalisateur qui est exceptionnel (Pascal Laugier, ndlr). Je vais me permettre de dire que c’est un putain de réalisateur, vraiment ! Et puis, il y a un scénario qui est absolument remarquable. Quand j’ai découvert à la lecture le scénario, je ne pouvais plus le laisser et, c’est vrai, j’ai dit immédiatement : « Je veux faire ce film ! »

JT de 20 heures - TF1, le 11/03/2018

Ce film, avant tout, est un film intelligent. C’est un film qui a un fond, qui a une forme certes, mais qui a surtout un fond, un propos qui est intelligent et remarquablement filmé. C’est un très très très beau réalisateur. Je suis très très fière d’avoir fait ce film.

JT de 20 heures - TF1, le 11/03/2018

Je l’ai appelé pour réaliser un clip parce que je pensais qu’il pouvait vraiment faire quelque chose d’incroyable et il a fait quelque chose d’incroyable pour moi, pour la chanson City Of Love.

JT de 20 heures - TF1, le 11/03/2018

Dans un moment, peut-être d’abandon, de détresse, de je ne sais quoi, de grand vide et… Il me parlait souvent de son projet. J’avoue que j’étais très attirée par son histoire. Et, je lui ai envoyé un sms à deux heures du matin et je lui ai dit : « Dis-moi, tu n’aurais pas un rôle de folle ? » n’imaginant pas une seconde qu’il allait me répondre : « Oui, bien sûr ! ». Mais, voilà, spontanément, il m’a dit : « Bien sûr ! Pas un rôle de folle, tu l’as déjà fait. Mais, j’ai un rôle pour toi. » Le rôle de Pauline la maman de ces deux jeunes filles.