Les citations liées à "Vie"

Journal de 18h - RTL, le 16/10/1995

Plus d’espoir, certainement ! Je crois n’avoir plus cette appréhension, en tout cas cette peur, qui était ma peur de la vie en général. Je crois avoir découvert l’idée d’une vie après la mort, donc cette acceptation est un changement assez bouleversant dans ma vie.

Radio 21, le 21/10/1995

La mort fait partie de la vie, donc, est-ce que j’ai apprivoisé la mort ou est-ce que la mort m’a apprivoisée : je ne sais pas bien, si ce n’est qu’être attirée par les mêmes choses, moi, je n’appelle pas ça de la morbidité mais simplement un intérêt, en tout cas une interrogation quant à la mort. Maintenant, la vie, je tente de l’accepter et de l’apprivoiser. Je vis au quotidien de la même façon que vous vivez, donc, bien sûr que c’est une préoccupation.

Radio 21, le 21/10/1995

J’ai découvert un livre qui je pense m’a beaucoup aidée et qui est très, très intéressant, qui s’appelle Le livre tibétain de la vie et de la mort et qui parle de cette acceptation de la mort et qui vous parle de la vie comme jamais on n’en a parlé.

Télé 7 Jours, le 30/10/1995

Voyager. En voyant d’autres choses, d’autres gens, d’autres pays, j’ai enfin accepté la vie. Je suis moins hantée par la mort. Je suis apaisée à l’idée qu’il y ait une vie après la mort. L’idée de la mort m’a longtemps attirée, impressionnée et oppressée. Aujourd’hui je me suis libérée de cette hantise.

L'Express, le 02/11/1995

J’oserais dire par hasard, ma route a croisé un auteur, Sogyal Rimpoche, une philosophie, Le livre tibétain de la vie et de la mort. Ce n’est pas tant le bouddhisme qui m’attire que les mots, les images, le réconfort. L’idée que, pour apprivoiser la vie, il faut d’abord accepter la mort.

Radio Contact, le 15/11/1995

J’ai un livre, je ne sais pas si je peux dire que je recommande, mais qui en tout cas, moi, m’a, je pense, beaucoup appris et beaucoup aidée, qui est Le livre tibétain de la vie et de la mort de Sogyal Rinpoché et qui vous parle indépendamment, vous parle du bouddhisme mais… Je ne sais pas si c’était le sujet qui m’intéressait réellement, mais le livre parle justement de votre importance, de l’importance de votre vie et de l’importance de lui trouver une qualité pour pouvoir, justement envisager sa mort relativement sereinement et pour pouvoir envisager des choses qui sont l’après-mort. Donc ce sont autant de choses qui sont très belles d’abord et qui vous donnent un petit peu d’espoir.

Le Guide Méridional, le 12/06/1996

J’ai rempli ces quatre ans de voyages à Los Angeles, New York, Bali aussi, de liberté, d’apprentissage de la vie. Avec une volonté de déracinement du cocon, qu’il soit bon ou mauvais.

Angeline's, le 23/09/1996

Naguère, j’ai hanté les cimetières… Il y a toujours quelque chose de fascinant dans le spectacle de la fin, mais le mystère, c’est que la vie ne connaît pas le point final. La fin marque l’aurore d’un monde nouveau, à venir… Maintenant, je suis moins oppressée par la mort. Un, je suis apaisée à l’idée qu’il y ait une vie après. Deux, la notion du « non-attachement » et de « l’impermanence » m’intéresse… Saisir l’instant, accepter les métamorphoses, l’éphémère, le mouvement.