Les citations liées à "Vêtements / Costumes"

La Charente Libre, le 25/05/1987

Je ne me vois pas interpréter une chanson plantée derrière un micro. Je trouve que la danse, comme la manière de me vêtir, apportent un plus nécessaire. Le spectacle, du moins celui qui m’attire, doit faire rêver les gens.

Mon Zénith à moi - Canal Plus, le 10/10/1987

J’ai rencontré donc Faycal Amor qui est quelqu’un qui occulte un peu le star-system pour l’instant.

J’aime beaucoup. Sa collection, c’est intitulé « Les enfants terribles » donc ce n’est pas pour me déplaire.

C’est tout ce que j’aime oui. J’aime la sobriété, j’aime le raffinement.

Il a une autre marque qui s’appelle « Plein Sud » qui est peut-être plus connue des gens, probablement oui. Et puis donc « Faycal Amor » qui est une signature plus haute couture.

Graffiti, le 01/12/1987

Je n’apprécie guère les jeans et je privilégie les belles fringues des créateurs aux vêtements passe-partout et sans âme,ou alors, je préfère ne rien porter du tout.

OK !, le 25/01/1988

Ma mère a toujours adoré s’habiller et de ce fait elle m’a forcément influencée, je m’en inspirais plus ou moins, fatalement. Mais à 14-15 ans, le budget alors était limité en ce qui concerne les vêtements, aussi je recherchais avant tout à bien marier les couleurs plutôt que de trouver des formes originales. J’étais déjà définitivement pantalons et je me souviens en particulier d’une tenue bordeaux – j’ai craqué un moment pour cette couleur – pull et pantalons assortis que je trouvais du plus bel effet !

Rock News, le 01/04/1988

Le mot « look » me fait frémir, j’ai horreur de cette appellation. Quant à l’habit, c’est quelque chose que j’adore. Ma mère n’y est pas étrangère, elle adorait s’habiller et obligatoirement cela m’a marquée. Maintenant, l’aspect physique n’est pas toujours le reflet de l’aspect mental mais les chaussures sont très importantes et peuvent laisser transparaître une personnalité.

NRJ, le 20/04/1988

Je pourrais appeler ça presque la toilette de l’âme. Chaque chanson suscite un univers. Par exemple, sur Tristana ça pouvait évoquer la Russie, donc j’avais des habits qui pouvaient évoquer aussi la Russie. Sans contrefaçon, c’était un petit garçon, donc c’était abordé avec la casquette. Et puis, c’est avant tout un plaisir que de s’habiller et que de changer.

Mais où sont les caméras ? - Skyrock, le 07/05/1988

J’ai rencontré récemment une femme qui m’a habillée dans le clip de Sans contrefaçon et avec qui je continue de travailler et qui s’appelle Marie-Pierre Tattarachi. Nous travaillons côte à côte. C’est-à-dire que si j’ai des modifications à faire et à apporter dans un costume, je me permets de le lui dire et de lui soumettre. C’est une femme, oui, qui a, justement, cette recherche de sobriété, et qui a des matériaux qui sont magnifiques. Elle travaille beaucoup le velours de soie. Elle travaille les satins, la soie. Et puis elle a des formes qui sont issues, je crois, du théâtre.