Les citations liées à "Clips (généralités)"

Graffiti, le 21/06/1987

(Le tournage d’un clip), c’est un mélange d’improvisation et de préparation sérieuse. C’est aussi toute une équipe qui se déplace. (…) Pour Laurent, c’est à la fois très travaillé et il y a ce que j’appelle le talent d’un réalisateur, c’est-à-dire des choses qui nous échappent un peu quand on est sur un tournage. Alors que pour le réalisateur, c’est très précis dans son esprit. Il y a leur secret aussi…

Salut, le 15/07/1987

L’intérêt avec les premiers clips, c’était d’innover. Généralement, les clips, c’est une explication du texte en image. Nous, Laurent et moi, ce qui nous intéresse, c’est d’extrapoler. Nous avons en commun l’amour du cinéma, nous avons donc orienté nos clips (je déteste ce mot mais je ne crois pas que court métrage musical soit plus adéquat) vers une tendance cinématographique.

Panique sur le 16 - TF1, le 19/11/1987

C’est la première fois que ça avait été fait en France (une cassette compilation de clips, NDLR), je sais maintenant beaucoup d’artistes le font, et les ventes sont considérables. Donc je pense que ça intéresse le public !

Top 50, le 18/01/1988

Je participe aux clips au niveau du scénario toujours, c’est un travail en commun. Pour le reste, c’est Laurent Boutonnat qui s’occupe tout seul de la réalisation.

Ici Paris, le 13/04/1988

La vie de tous les jours m’ennuie. Elle me fait même peur. L’imaginaire joue un rôle essentiel dans mon existence. A travers les clips, je me retrouve comme par enchantement dans une espèce de miroir.

Mais où sont les caméras ? - Skyrock, le 07/05/1988

(Faire un clip pour chaque chanson), c’était un projet, mais un projet qui est très, très cher et il faut avoir surtout du temps, ce que nous n’avons pas actuellement. Mais c’est vrai que c’est quelque chose que j’aimerais faire.

Mais où sont les caméras ? - Skyrock, le 07/05/1988

Je ne sais pas si un clip c’est extrêmement important. En ce qui concerne le cas de Libertine, c’est vrai que ça avait été… on pourrait presque dire « indispensable ». Maintenant, après, c’est plus un plaisir qu’un besoin. Je crois qu’on peut se passer de clip, il y a suffisamment d’émissions de télévision.