Les citations liées à "Concerts – Tour 2009"

Le Grand Studio - RTL, le 12/09/2009

Il y a fort longtemps que je ne célèbre plus mon anniversaire. Mais, pour être tout à fait franche, mon anniversaire devant 80 000 personnes au Stade de France, c’est quelque chose qui sera, je crois, in-croyable à vivre. Donc, j’adore cette idée-là. Et, cette date n’a évidemment pas été choisie. Il se trouve que le Stade de France était libre le 11 et le 12 septembre. Il se trouve que le 12 septembre est cette fameuse date anniversaire, donc, ce sera quelque chose d’assez unique, effectivement, pour moi. Ce sera un immense cadeau de 80 000 personnes, c’est incroyable.

JT de 20 heures - TF1, le 12/09/2009

J’étais très, très, très heureuse de partager ce spectacle avec Jean-Paul. Il a été d’une générosité incroyable, a eu des idées incroyables ; j’espère, m’a rendue un peu jolie mais, je l’en remercie parce que, c’est quelqu’un d’exceptionnel, vraiment.

Paris Match, le 02/12/2010

Je ne me suis en aucun cas ­éloignée de Laurent. Après la tournée et les concerts au Stade de France, il s’opère une effrayante descente aux enfers malgré le succès, un vide sidéral, un manque. Vous recevez tant d’amour, de vibrations, autant de sensations qui vous donnent l’envie… d’écrire. Laurent a tout à fait compris mon besoin de créer. C’est aussi ça, la complicité. Nous nous retrouverons pour le prochain ­album.

JT de 20 heures - France 2, le 12/12/2010

(Après les concerts), c’était un vide abyssal. C’est difficile. Comme quand on fait du sport, l’endorphine, on est gonflé, et puis après, c’est un grand vide qui lui est abyssal et, c’est presque comme une petite mort. On a l’impression de n’être plus rien, de ne servir à rien.

JT de 20 heures - France 2, le 12/12/2010

C’est Moby qui m’a envoyé dix-sept chansons. Et, parce que un vide abyssal (après la fin des concerts, ndlr), tout d’un coup, je me suis dit, il faut que je le remplisse, parce qu’on a l’impression de n’être rien. L’ennui vous gagne, l’ennui de soi.

Radio Scoop, le 24/02/2011

Une « petite mort », ça paraît toujours un mot un peu violent, une métaphore un peu violente mais c’est une réalité. Quand on sort et de scène, et d’une tournée, il y a ce sentiment qui est un véritable vertige , c’est comme si on vous enlevez une perfusion. On est en manque. Un sentiment de solitude parce que la scène c’est avant tout un partage, c’est une communion. Et, quand on vous enlève l’autre, ma foi, c’est le vide.

La planète mode de Jean Paul Gaultier, de la rue aux étoiles (Livre), le 01/09/2011

Il y a beaucoup de complicité, de rires, d’attentions réciproques, de réflexion. Toutes les tenues étaient extraordinaires, les miennes comme celles des danseurs. Le costume écorché est un chef-d’oeuvre « ensanglanté », qui a marqué l’imaginaire collectif. Le tableau « tutuesque » nous a enchantés. Les danseurs et les danseuses étaient chaque soir très fébriles avant leur entrée en scène.