Les citations liées à "Etats-Unis"

JT - RTL TVI, le 06/06/1996

L’idée du voyage, de l’oubli de soi-même pendant quelques instants, et découvrir des choses de la vie, j’avais un peu oublié. Et, on change, parfois naturellement, parfois avec des rencontres. Et puis, de retrouver le sourire, c’est plutôt agréable.

Le Guide Méridional, le 12/06/1996

Je peux parler d’épanouissement. Je voulais aller vers l’autre. Je me sens un peu plus légère, mes doutes sont moins profonds. De mon côté, c’est un changement radical de vivre dans l’instant présent. A Los Angeles, par exemple, je recherchais une perte d’identité, au moins artistique.

Le Guide Méridional, le 12/06/1996

Si je pourrais sans problème m’expatrier en Europe, je ne deviendrais pas américaine. La qualité de vie y est ponctuellement agréable.

XXELLE - Musique Plus, le 05/10/1996

Il y a plus de guitares, c’est plus ce qu’on appelle ‘live’, moins d’instruments synthétiques.
Je crois que j’ai toujours aimé les guitares. Maintenant, je pense qu’il faut parfois du temps pour y venir. Mon passage aux Etats-Unis a dû influencer, inconsciemment en tout cas.

XXELLE - Musique Plus, le 05/10/1996

L’anonymat, ça apporte toujours. On se restructure, oui, d’une certaine façon parce qu’il y a des passages, comme ça, dans sa vie d’artiste, où on a besoin, oui, d’être isolée, d’être loin de son métier, si je puis dire, de son identité, en tout cas, de chanteuse.

XXELLE - Musique Plus, le 05/10/1996

Les américains ont un professionnalisme qui est très étonnant, très performant. Ce sont des gens qui discutent beaucoup avant, qui peuvent discuter après, mais, pendant, ils sont là et sont là pour travailler et pour donner le maximum donc, ça, c’est peut-être une caractéristique qui est assez étonnante chez eux.

Télé 7 Jours, le 11/11/1996

Si je devais choisir une ville, je prendrais New York. Pour moi, c’est une ville énergétique, qui m’apparaît comme très positive. J’aime marcher dans ses rues où peu de gens me connaissent. J’ai une sensation de liberté. J’ai l’impression de connaître New York comme une évidence. Son côté vertigineux, étouffant, miraculeux, son architecture stricte et définitive sont magnifiques. Et puis la langue anglaise nous offre la touche de dépaysement qui manque.

Le Parisien, le 29/11/1996

Je ne pourrais pas vivre en Californie éternellement, mais de temps en temps, l’espace, la surdimension, la qualité de vie quotidienne et aussi la perte d’identité, cela fait du bien. S’il faut choisir, c’est quand même Paris. Mais, quand j’y suis revenue, j’ai trouvé la ville plombée, noire d’encre. Le ciel de Californie, c’est tout de même plus sexy

Le Parisien, le 29/11/1996

En Californie, j’ai aussi travaillé. Y enregistrer mon dernier album m’a galvanisée. Non que les musiciens américains soient forcément meilleurs, mais rencontrer des gens différents, cela donne du punch pour créer.