Les citations liées à "Tristana – Clip"

Direct - Canal Plus, le 30/04/1987

On met de la musique additionnelle, dans Libertine c’est ce qui s’est produit, il y a des moments sans musique, y a des moments avec voix-off, enfin il y a plein de possibilités ! Et là, pour Tristana en l’occurrence, on va mettre probablement la version du maxi 45 tours, donc qui est un peu plus longue que le 45 tours lui-même, avec une musique additionnelle et autre.

Lazer - M6, le 01/05/1987

Je préfère taire les circonstances (à propos de la dédicace du clip Tristana à son père, NDLR) parce que là, j’ai beaucoup de pudeur à cet égard. C’est vrai que de mettre ça sur un écran, « A Papa », c’est un paradoxe mais j’avais envie de le faire.

Lazer - M6, le 01/05/1987

J’adore cette langue, j’aime ce pays et c’était une façon, comme ça, de rendre hommage à ce pays et de retrouver des personnages qui sont réellement russes dans ce clip Tristana.

Lazer - M6, le 01/05/1987

C’est Blanche-Neige et les sept nains transposé en Russie, avec de la violence, avec un romantisme poussé à l’extrême. C’est tout ce que j’aime.

Lazer - M6, le 01/05/1987

Je ne connaissais absolument pas le Vercors. C’est vrai que j’ai découvert des paysages magnifiques ! On a eu beaucoup de neige, alors que partout ailleurs la neige avait fondu et ça, il y a de ça un mois, et c’était prodigieux comme tournage (le clip Tristana, NDLR).

Cool, le 01/05/1987

On a tourné dans le Vercors pendant 5 jours. J’ai adoré le tournage différent de Libertine. C’est peut-être un peu orienté vers le cinéma, puisqu’il y a des dialogues et une durée de 11, 12 minutes. C’était passionnant.

Cool, le 01/05/1987

C’est toujours pareil, on a travaillé ensemble Laurent et moi sur le scénario du clip Tristana. Maintenant, le support de cette vidéo, ça pourrait être Blanche Neige et les Sept Nains. Donc, il y avait déjà une colonne vertébrale, une trame. Après Laurent a fait le découpage. Comme il pratique le cinéma ça fait très vite visuellement, dans son esprit.

Graffiti, le 21/06/1987

C’est d’abord un amour commun avec le réalisateur pour le cinéma. C’est notre propre conception d’une mise en images d’une chanson. On aurait eu plus de temps pour le tournage (du clip Tristana, NDLR), ça serait devenu un film, c’est vrai.

Graffiti, le 21/06/1987

Pour moi Tristana, ça évoque tout un univers russe, alors que le prénom est espagnol. Même la chanson évoque pour moi la Russie. C’est pourquoi Laurent Boutonnat a transposé le conte Blanche-Neige et les sept nains en Russie. De plus, j’ai appris le russe à l’école, c’était ma seconde langue. C’était déjà une première approche de ce pays. Ce qui m’a aussi permis de parler en russe dans Tristana.