Les citations liées à "Concerts – Tour 1996"

Gala, le 30/05/1996

Pleurer sur scène, c’est une réaction incontrôlable à ce qui se passe entre le public et moi. Une sorte d’alchimie. La scène est un moment hors du commun. Les émotions que j’y ressens me nourrissent. J’en ai besoin.

Gala, le 30/05/1996

Par peur de me lasser, je me suis confrontée deux fois seulement à la scène. La première, en 1989. La deuxième, aujourd’hui. Cela correspond à la sortie d’un album et à mon retour en France après quatre ans d’absence.

Le Parisien, le 31/05/1996

Je crois que je n’éprouverais pas de réel plaisir à être seulement derrière un micro. Mes envies de scène passent par ce goût du show à l’américaine, de « performance », de polyvalence.

Le Parisien, le 31/05/1996

Mon nouveau disque, le sentiment d’avoir fait le plein de sang neuf et la longueur de ces années sans le public m’ont décidée à revenir sur scène.

Le Parisien, le 31/05/1996

La sérénité, je ne l’ai pas atteinte. J’ai encore trop de chaînons manquants et je crains que le doute soit mon éternel compagnon de route. Mais, aujourd’hui, je remplacerais bien le cynisme par l’humour. J’ai acquis des certitudes comme celle du partage et je suis heureuse de terminer mon spectacle par un morceau d’espoir.

Le Parisien, le 31/05/1996

Il ne faut pas trop s’attarder sur soi. Je communique avec les gens, je les ressens et je crois qu’au sortir de scène, je suis heureuse.

La Matinale de Cauet - Skyrock, le 31/05/1996

Une vraie, vraie envie profonde de remonter sur scène. Un vrai désir que de retrouver le public. Donc, dur en aucun cas. Maintenant, un spectacle de deux heures est toujours difficile. Avec beaucoup de changements de costumes, ça c’est exercice assez difficile. J’ai pris vraiment, vraiment un grand plaisir.

Europe Matin - Europe 1, le 31/05/1996

Je crois que la scène, c’est très, très libérateur. Il y a toujours un trac, une notion de trac qui est énorme. Maintenant, c’est un vrai bonheur que de retrouver, si on peut parler de dialogue, en tout cas une émotion, une émotion que je ne trouverais, je crois, nulle part ailleurs. Donc la scène me donne ça et, c’est bien et j’aime ce moment qui est rare.

Europe Matin - Europe 1, le 31/05/1996

C’était une vraie urgence. J’ai attendu très longtemps et c’était quelque chose dont j’avais profondément envie. C’est retrouver un public que j’ai perdu pendant près de quatre années.